La Ronde des hirondelles dépeint le quotidien d’hommes exilés au cœur des Hautes-Alpes. Ils y sont dans un état latent — après des semaines de longues marches. L'interaction avec le paysage, l'immersion et la contemplation ont rythmé ces temps. La marche est ici perçue comme un exutoire, un état réflexif ; une échappatoire au quotidien parfois morose.